Petites annonces pour blog
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vodka anthony
ha anthony je savai pas que tu t'était mis a la production d'alcool fort huuummm c bon la vodka prunier
Les vodkas Prunier sont distillées uniquement à base de blé, selon les meilleures méthodes ancestrales. Toute la gamme des vodkas Prunier est produite en France dans le Périgord, terroir de gastronomie et de tradition. Ces vodkas précieuses ont été spécialement créées pour s'harmoniser avec une large gamme de produits exclusifs : 8 parfums, 8 goûts, 8 couleurs, 8 styles.
Vodka Prunier “Diamant”
Pureté du diamant pour cette vodka française distillée 4 fois, rareté et subtilité. Accord idéal après une dégustation de caviar "Paris".
Vodka Prunier “Saphir”
Gaieté bleutée du saphir pour cette vodka française aromatisée à la fève de Tonka. Exotisme et originalité.
Accord idéal après une dégustation de caviar "Tradition".
Vodka Prunier “Emeraude”
Densité et fraîcheur de l'émeraude pour cette vodka française aromatisée à l'herbe de bison de Sibérie et à la menthe poivrée. Elégance et puissance. Accord idéal après une dégustation de caviar "Héritage".
Vodka Prunier “Jade”
Race et vivacité du jade pour cette vodka française aromatisée au citron confit et gingembre thaïlandais. Fraicheur et vivacité. Accord idéal après une dégustation de caviar "Malossol".
Vodka Prunier “Ambre”
Douceur et mystère de l'ambre pour cette vodka française aromatisée au miel de montagne et au poivre de Sichuan. Onctueuse et puissante. Accord idéal après une dégustation de caviar "Saint-James".
Vodka Prunier “Topaze”
Tendresse rose de la topaze pour cette vodka française aromatisée à la prune et aux pétales de rose. Douceur et féminité. Accord idéal après une dégustation de saumon Balik Filet Tsar Nikolaj mariné.
Vodka Prunier “Rubis”
Soyeux pourpre du velours pour cette vodka française aromatisée aux cerises sauvages. Charme et sensualité. Idéal à l'apéritif ou en fin de repas.
Vodka Prunier “Diamant Noir”
Mythe ou réalité du diamant noir pour cette vodka française aromatisée aux truffes noires. Distinction et mystère. Accord idéal avec les poissons fumés comme l'esturgeon ou l'anguille et pourquoi pas un foie gras truffé.
L'abus d'alcool est dangereux pour la santé. A consommer avec modération.
Les vodkas Prunier sont distillées uniquement à base de blé, selon les meilleures méthodes ancestrales. Toute la gamme des vodkas Prunier est produite en France dans le Périgord, terroir de gastronomie et de tradition. Ces vodkas précieuses ont été spécialement créées pour s'harmoniser avec une large gamme de produits exclusifs : 8 parfums, 8 goûts, 8 couleurs, 8 styles.
Vodka Prunier “Diamant”
Pureté du diamant pour cette vodka française distillée 4 fois, rareté et subtilité. Accord idéal après une dégustation de caviar "Paris".
Vodka Prunier “Saphir”
Gaieté bleutée du saphir pour cette vodka française aromatisée à la fève de Tonka. Exotisme et originalité.
Accord idéal après une dégustation de caviar "Tradition".
Vodka Prunier “Emeraude”
Densité et fraîcheur de l'émeraude pour cette vodka française aromatisée à l'herbe de bison de Sibérie et à la menthe poivrée. Elégance et puissance. Accord idéal après une dégustation de caviar "Héritage".
Vodka Prunier “Jade”
Race et vivacité du jade pour cette vodka française aromatisée au citron confit et gingembre thaïlandais. Fraicheur et vivacité. Accord idéal après une dégustation de caviar "Malossol".
Vodka Prunier “Ambre”
Douceur et mystère de l'ambre pour cette vodka française aromatisée au miel de montagne et au poivre de Sichuan. Onctueuse et puissante. Accord idéal après une dégustation de caviar "Saint-James".
Vodka Prunier “Topaze”
Tendresse rose de la topaze pour cette vodka française aromatisée à la prune et aux pétales de rose. Douceur et féminité. Accord idéal après une dégustation de saumon Balik Filet Tsar Nikolaj mariné.
Vodka Prunier “Rubis”
Soyeux pourpre du velours pour cette vodka française aromatisée aux cerises sauvages. Charme et sensualité. Idéal à l'apéritif ou en fin de repas.
Vodka Prunier “Diamant Noir”
Mythe ou réalité du diamant noir pour cette vodka française aromatisée aux truffes noires. Distinction et mystère. Accord idéal avec les poissons fumés comme l'esturgeon ou l'anguille et pourquoi pas un foie gras truffé.
L'abus d'alcool est dangereux pour la santé. A consommer avec modération.
le-monegasque17- Messages : 103
Date d'inscription : 07/06/2008
Age : 34
Localisation : luché
truffe girard
Deux grandes écoles de la truffe au chocolat coexistent : la truffe au beurre et la truffe à la crème. La maison Girard fait partie de la seconde. Respectueuse de la tradition chocolatière, la maison Girard façonne délicatement ce mélange de crème fraîche et de chocolat de qualité supérieure, pour faire naître une saveur inoubliable. Redécouvrez ces petites douceurs au coeur généreux et à la robe délicieusement corsée .Cette gourmandise sera un parfait cadeau pour les amateurs de chocolat.
Les truffes sont présentées dans une trés belle boîte et emballées dans un papier cadeau de qualité.
Les truffes sont présentées dans une trés belle boîte et emballées dans un papier cadeau de qualité.
le-monegasque17- Messages : 103
Date d'inscription : 07/06/2008
Age : 34
Localisation : luché
Histoire du Château Lafitte
Histoire du Château Lafitte
Le plus ancien témoignage trouvé dans les archives révèle l’existence du château au 14ème siècle. On sait en effet qu’en 1398 Berdot de Lafiite prête serment de fidélité et hommage à Archambaud de Grailly et Isabelle de Foix, vicomte et vicomtesse de Béarn. Il est ainsi possible d’affirmer que cette « domenjadure » a près de 700 ans aujourd’hui , et que ses occupants ont participé à travers les siècles à la vie de la commune de Monein mais également à celle du Béarn.
Ses terres formaient une vaste propriété agricole, et la vigne a toujours occupé les parcelles de coteaux exposés face aux Pyrénées, et abritées du vent d’Ouest. A une époque où l’appellation de « Jurançon » n’existait pas encore, les seigneurs de La Fita de Monenh, se délectaient déjà des nectars produits sur leur propriété, et régalaient leur hôtes ébahis de ce vin « ayant autant de caractère que de douceur ».
L’histoire a voulu que la propriété se morcelât, puis disparût, lorsque Robert DABADIE, ancien Maire de MONEIN, l’eût revendue dans les années 1950. Un grand lotissement était alors construit à l’entrée du village, et le Château accueillit un restaurant pendant quelques années, puis un centre d’éducation d’handicapés à l’initiative de Monsieur Maurice BLANC.
En 1986, Philippe ARRAOU, palois vivant à Monein depuis neuf années, loue le Château pour s’y installer avec sa famille de trois enfants, puis l’achète deux ans plus tard. Jeune diplômé d’expertise comptable, il installe son cabinet dans le Château, avant de le déplacer un an plus tard à PAU, où il exerce toujours. « La première fois que je suis entré dans le Château, j’ai été pris d’un coup de foudre, et me suis senti instantanément chez moi ». Il a alors entrepris des travaux pendant plusieurs années, et transformé ce qui était devenu un bâtiment de collectivité en maison de famille. Une vie paisible s’était installée dans le Château, mais avec un sentiment d’inachevé dans la tête du nouveau propriétaire : que faire de ces 2,5 hectares au sommet desquels le Château rayonne sur tout la vallée ? « Dans mon esprit, de telles pentes, avec une telle exposition, situées au milieu de l’appellation AOC Jurançon, ne pouvaient qu’accueillir des vignes » explique l’entreprenant propriétaire. Mais ne fait pas du vin qui veut, dans un pays où la réglementation sévit dans tous les domaines. Conscient de ces difficultés, mais également de son manque de temps pour une activité nouvelle, Philippe ARRAOU s’est alors mis en quête de trouver un viticulteur à qui proposer l’affaire.
Sans précipitation, mais avec obstination, cette recherche l’a conduit jusqu’à fin 1999, où il fit connaissance de Jacques BALENT, jeune vigneron de trente ans en quête d’installation. Celui-ci produisait son propre vin depuis plusieurs années en achetant la récolte de viticulteurs de Monein. Sa passion pour le vin lui a permis de réaliser un excellent vin, dont la renommée a rapidement passé les frontières. Il faut dire que malgré son jeune âge, il possédait déjà un savoir-faire de haut niveau pour avoir, après ses études d’œnologie, dirigé le laboratoire de l’association « La route des vins », et conseillé pendant cinq années les vignerons indépendants de l’appellation Jurançon.
« Le travail du chai n’est que le prolongement du travail de la vigne » se plaît à dire Jacques BALENT, « et l’on ne maîtrise complètement le produit mis en bouteille que si l’on peut agir le plus en amont possible, c’est à dire dès le travail de la terre » Il lui fallait donc une propriété, et s’installer en jeune agriculteur. Cela n’est pas facile à trouver, et les charges de remboursement d’une acquisition pèsent lourdement sur la rentabilité d’une exploitation. Mais l’élément décisif qui l’a fait s’engager dans ce projet est d’origine sentimentale : le jeune vigneron est né et vit au pied du château, et planter des vignes à cet endroit relève de l’accomplissement d’un rêve.
« C’est la fatalité qui nous a fait nous rencontrer », disent en chœur les deux compères, conscients de leur complémentarité. L’un sait faire du vin, l’autre gérer une entreprise. L’un amène son savoir-faire pour un produit de qualité, l’autre un domaine avec un nom de château, chose rare dans le Jurançon. L’un a des références et des relations dans le monde du vin, l’autre dans celui de la finance. L’un et l’autre sont très différents, mais chacun a besoin de l’autre pour réaliser son rêve, un rêve commun qu’ils partagent. Mais malgré toutes leurs différences, ils avaient une caractéristique commune : ce sont deux passionnés, deux fonceurs.
Ainsi est donc née la société « Château Lafitte ». Philippe ARRAOU et Jacques BALENT se sont associés sous la forme d’une E.A.R.L. Ce projet a vu le jour le 1er avril 2000. «Le jour et l’année seront faciles à mémoriser », disent-ils pleins de malice. La première étape a consisté à installer un chai dans les dépendances du château. Plusieurs mois ont été nécessaires, et les derniers aménagements ont été terminés quelques jours avant l’arrivée des premières vendanges. En effet il y aura un millésime 2000 pour le Château Lafitte en Jurançon, car dès la première année la société a passé des baux de fermage avec des viticulteurs. Mais cela ne représente qu’une faible partie de la production attendue, qui dorénavant aura trois origines :
- des fermages auprès de viticulteurs indépendants,
- une vigne de près de 3 hectares rachetée à la fin de l’année 2000 à Monein,
- les plantations sur le domaine du Château, commencées au printemps 2001
La particularité de la production est qu’elle sera biologique. « Quand on démarre quelque chose de nouveau, on se tourne vers l’avenir» dit Jacques BALENT, qui est décidé à produire un vin de qualité. « La culture bio demande des connaissances nouvelles et des méthodes différentes, mais c’est un effort que je tiens à faire pour répondre à l’attente de la clientèle. »
Une gamme complète sera proposée :
- un vin doux tradition
- un vin doux élevé en barrique de chêne, La Cuvée Lison
- un vin sec tradition
- un vin sec élevé en barrique de chêne, la cuvée Marine
- un vin doux sur sélection de grains, le Carpe Diem
Le vin est encore dans les fûts de chêne, que déjà les commandes
arrivent, et que les marchés à l’exportation s’ouvrent. La première mise en bouteille de vin générique est partie aux Etats Unis, et le Guide des Vins de France a sélectionné le produit. L’affaire est bien partie.
Ainsi le Château Lafitte renoue avec son passé. Une nouvelle page s’ouvre dans la vie du château, avec en perspective un cru d’une grande qualité, sans oublier le bonheur de deux aventuriers. « L’histoire est un éternel recommencement … ».
Le plus ancien témoignage trouvé dans les archives révèle l’existence du château au 14ème siècle. On sait en effet qu’en 1398 Berdot de Lafiite prête serment de fidélité et hommage à Archambaud de Grailly et Isabelle de Foix, vicomte et vicomtesse de Béarn. Il est ainsi possible d’affirmer que cette « domenjadure » a près de 700 ans aujourd’hui , et que ses occupants ont participé à travers les siècles à la vie de la commune de Monein mais également à celle du Béarn.
Ses terres formaient une vaste propriété agricole, et la vigne a toujours occupé les parcelles de coteaux exposés face aux Pyrénées, et abritées du vent d’Ouest. A une époque où l’appellation de « Jurançon » n’existait pas encore, les seigneurs de La Fita de Monenh, se délectaient déjà des nectars produits sur leur propriété, et régalaient leur hôtes ébahis de ce vin « ayant autant de caractère que de douceur ».
L’histoire a voulu que la propriété se morcelât, puis disparût, lorsque Robert DABADIE, ancien Maire de MONEIN, l’eût revendue dans les années 1950. Un grand lotissement était alors construit à l’entrée du village, et le Château accueillit un restaurant pendant quelques années, puis un centre d’éducation d’handicapés à l’initiative de Monsieur Maurice BLANC.
En 1986, Philippe ARRAOU, palois vivant à Monein depuis neuf années, loue le Château pour s’y installer avec sa famille de trois enfants, puis l’achète deux ans plus tard. Jeune diplômé d’expertise comptable, il installe son cabinet dans le Château, avant de le déplacer un an plus tard à PAU, où il exerce toujours. « La première fois que je suis entré dans le Château, j’ai été pris d’un coup de foudre, et me suis senti instantanément chez moi ». Il a alors entrepris des travaux pendant plusieurs années, et transformé ce qui était devenu un bâtiment de collectivité en maison de famille. Une vie paisible s’était installée dans le Château, mais avec un sentiment d’inachevé dans la tête du nouveau propriétaire : que faire de ces 2,5 hectares au sommet desquels le Château rayonne sur tout la vallée ? « Dans mon esprit, de telles pentes, avec une telle exposition, situées au milieu de l’appellation AOC Jurançon, ne pouvaient qu’accueillir des vignes » explique l’entreprenant propriétaire. Mais ne fait pas du vin qui veut, dans un pays où la réglementation sévit dans tous les domaines. Conscient de ces difficultés, mais également de son manque de temps pour une activité nouvelle, Philippe ARRAOU s’est alors mis en quête de trouver un viticulteur à qui proposer l’affaire.
Sans précipitation, mais avec obstination, cette recherche l’a conduit jusqu’à fin 1999, où il fit connaissance de Jacques BALENT, jeune vigneron de trente ans en quête d’installation. Celui-ci produisait son propre vin depuis plusieurs années en achetant la récolte de viticulteurs de Monein. Sa passion pour le vin lui a permis de réaliser un excellent vin, dont la renommée a rapidement passé les frontières. Il faut dire que malgré son jeune âge, il possédait déjà un savoir-faire de haut niveau pour avoir, après ses études d’œnologie, dirigé le laboratoire de l’association « La route des vins », et conseillé pendant cinq années les vignerons indépendants de l’appellation Jurançon.
« Le travail du chai n’est que le prolongement du travail de la vigne » se plaît à dire Jacques BALENT, « et l’on ne maîtrise complètement le produit mis en bouteille que si l’on peut agir le plus en amont possible, c’est à dire dès le travail de la terre » Il lui fallait donc une propriété, et s’installer en jeune agriculteur. Cela n’est pas facile à trouver, et les charges de remboursement d’une acquisition pèsent lourdement sur la rentabilité d’une exploitation. Mais l’élément décisif qui l’a fait s’engager dans ce projet est d’origine sentimentale : le jeune vigneron est né et vit au pied du château, et planter des vignes à cet endroit relève de l’accomplissement d’un rêve.
« C’est la fatalité qui nous a fait nous rencontrer », disent en chœur les deux compères, conscients de leur complémentarité. L’un sait faire du vin, l’autre gérer une entreprise. L’un amène son savoir-faire pour un produit de qualité, l’autre un domaine avec un nom de château, chose rare dans le Jurançon. L’un a des références et des relations dans le monde du vin, l’autre dans celui de la finance. L’un et l’autre sont très différents, mais chacun a besoin de l’autre pour réaliser son rêve, un rêve commun qu’ils partagent. Mais malgré toutes leurs différences, ils avaient une caractéristique commune : ce sont deux passionnés, deux fonceurs.
Ainsi est donc née la société « Château Lafitte ». Philippe ARRAOU et Jacques BALENT se sont associés sous la forme d’une E.A.R.L. Ce projet a vu le jour le 1er avril 2000. «Le jour et l’année seront faciles à mémoriser », disent-ils pleins de malice. La première étape a consisté à installer un chai dans les dépendances du château. Plusieurs mois ont été nécessaires, et les derniers aménagements ont été terminés quelques jours avant l’arrivée des premières vendanges. En effet il y aura un millésime 2000 pour le Château Lafitte en Jurançon, car dès la première année la société a passé des baux de fermage avec des viticulteurs. Mais cela ne représente qu’une faible partie de la production attendue, qui dorénavant aura trois origines :
- des fermages auprès de viticulteurs indépendants,
- une vigne de près de 3 hectares rachetée à la fin de l’année 2000 à Monein,
- les plantations sur le domaine du Château, commencées au printemps 2001
La particularité de la production est qu’elle sera biologique. « Quand on démarre quelque chose de nouveau, on se tourne vers l’avenir» dit Jacques BALENT, qui est décidé à produire un vin de qualité. « La culture bio demande des connaissances nouvelles et des méthodes différentes, mais c’est un effort que je tiens à faire pour répondre à l’attente de la clientèle. »
Une gamme complète sera proposée :
- un vin doux tradition
- un vin doux élevé en barrique de chêne, La Cuvée Lison
- un vin sec tradition
- un vin sec élevé en barrique de chêne, la cuvée Marine
- un vin doux sur sélection de grains, le Carpe Diem
Le vin est encore dans les fûts de chêne, que déjà les commandes
arrivent, et que les marchés à l’exportation s’ouvrent. La première mise en bouteille de vin générique est partie aux Etats Unis, et le Guide des Vins de France a sélectionné le produit. L’affaire est bien partie.
Ainsi le Château Lafitte renoue avec son passé. Une nouvelle page s’ouvre dans la vie du château, avec en perspective un cru d’une grande qualité, sans oublier le bonheur de deux aventuriers. « L’histoire est un éternel recommencement … ».
Rocco- Messages : 12
Date d'inscription : 05/06/2008
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Re: Petites annonces pour blog
c magnifique !!!!!!!!!!
le-monegasque17- Messages : 103
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Re: Petites annonces pour blog
Depuis sa création en 1969, l'Université Paul Sabatier étend son offre de formation pluridisciplinaire dans les domaines des sciences, de la santé, de l'ingénierie, des technologies et du sport et développe l'un des plus importants pôles de recherche scientifique français. Ancrée à Toulouse, capitale européenne de l'aéronautique et de l'espace, l'UPS est une université européenne renommée, résolument ouverte sur le monde.
Solidaire, humaniste, collective et moderne, l'UPS est depuis toujours porteuse de grandes valeurs au service de la société. À travers ses missions, elle s'attache à faire respecter l'égalité en droit entre tous et à ouvrir des voies de développement à tout citoyen. L'UPS place résolument l'être humain au centre de ses préoccupations et affirme sa vocation à participer au développement de la collectivité. Elle met en place des dispositifs pédagogiques, scientifiques, culturels et organisationnels qui visent l'épanouissement de tous, étudiants et personnels. Inscrite dans le monde contemporain et attentive au devenir de notre société, l'UPS se veut une université de référence, innovante tant au niveau scientifique que pédagogique et consciente de son environnement social et économique. Au premier plan de ses priorités : l'insertion professionnelle des étudiants, le développement et la valorisation de la recherche, un positionnement européen et international.
L'UPS se situe parmi les premières universités françaises par la qualité de son enseignement, son rayonnement scientifique, le nombre de ses étudiants. Avec des cursus universitaires inscrits dans l'harmonisation européenne des diplômes, des formations professionnelles en phase avec le monde du travail et une pédagogie active (suivi et tutorat, stages, débouchés...), l'UPS innove en permanence en matière de formations, avec réalisme et ambition. Quel que soit le domaine choisi : sciences fondamentales, sciences de la vie et de la santé, technologies, sport ou sciences humaines et sociales, toutes les formations sont accessibles en formation initiale comme en formation continue. Les formations professionnalisées, constituant de véritables passeports pour la vie active, sont proposées à côté de formations plus classiques orientées vers les métiers de l'enseignement et de la recherche. L'UPS vise avant tout la réussite de ses étudiants, qu'elle accompagne dans la définition de leur projet professionnel et le choix du parcours d'études le mieux adapté.
Solidaire, humaniste, collective et moderne, l'UPS est depuis toujours porteuse de grandes valeurs au service de la société. À travers ses missions, elle s'attache à faire respecter l'égalité en droit entre tous et à ouvrir des voies de développement à tout citoyen. L'UPS place résolument l'être humain au centre de ses préoccupations et affirme sa vocation à participer au développement de la collectivité. Elle met en place des dispositifs pédagogiques, scientifiques, culturels et organisationnels qui visent l'épanouissement de tous, étudiants et personnels. Inscrite dans le monde contemporain et attentive au devenir de notre société, l'UPS se veut une université de référence, innovante tant au niveau scientifique que pédagogique et consciente de son environnement social et économique. Au premier plan de ses priorités : l'insertion professionnelle des étudiants, le développement et la valorisation de la recherche, un positionnement européen et international.
L'UPS se situe parmi les premières universités françaises par la qualité de son enseignement, son rayonnement scientifique, le nombre de ses étudiants. Avec des cursus universitaires inscrits dans l'harmonisation européenne des diplômes, des formations professionnelles en phase avec le monde du travail et une pédagogie active (suivi et tutorat, stages, débouchés...), l'UPS innove en permanence en matière de formations, avec réalisme et ambition. Quel que soit le domaine choisi : sciences fondamentales, sciences de la vie et de la santé, technologies, sport ou sciences humaines et sociales, toutes les formations sont accessibles en formation initiale comme en formation continue. Les formations professionnalisées, constituant de véritables passeports pour la vie active, sont proposées à côté de formations plus classiques orientées vers les métiers de l'enseignement et de la recherche. L'UPS vise avant tout la réussite de ses étudiants, qu'elle accompagne dans la définition de leur projet professionnel et le choix du parcours d'études le mieux adapté.
killme54- Messages : 118
Date d'inscription : 13/06/2008
Age : 33
Localisation : Les Touches (17)
Re: Petites annonces pour blog
Il nous faut remonter au début du XIXème siècle pour trouver un certain Philippe SABATIER qui fabriquait, à Bellevue (dans les faubourgs de Thiers) au n° 57 de la Route de Lyon, des couteaxu destinés aux professionnels de la viande.
Le succès rencontré à été tel, qu'il fallut les distinguer de la concurrence par l'apposition d'une marque : ce fut un "K", qui était déjà utilisée avant la Révolution Française, mais qui a été rachetée par notre homme en 1810.
Ainsi donc le K SABATIER est né : la lame, de longueur variable, était naturellementen acier au carbone forgée et le manche était monté sur soie après avoir été préalablement rempli de ciment, la partie arrière étant obturée par une rosette.
Son fils, Bonnet SABATIER, lui a succédé, utilisant toujours la même marque. Un acte, qui date du 9 Décembre 1858, relate le renouvellement du dépôt de celle-ci.
Bonnet eut deux fils : Gabriel et Pierre, lesquels, après avoir travaillé avec leur père, ont, au départ de celui-ci, le 6 Juin 1882, créé une société SABATIER FRERES. Gabriel, qui a racheté tous les droits sur les marques, continua de fabriquer ce même type de couteau sous le nom de SABATIER AINE, à la marque K SABATIER.
A ce stade du récit, la question du succès de ce couteau, non seulement en France mais dans le monde entier, et cela, dès les premiers modèles forgés par Philippe, se pose.
La réponse réside dans la qualité et l'équilibre de l'ensemble, la prise en main étant beaucoup plus agréable par rapport à ce qui existait déjà, dans la gamme des tailles proposées.
La vente était tout d'abord locale, à l'occasion des foires agricoles, mais les professionnels de la boucherie et de la cuisine étant géographiquement très mobiles, leurs collègues de rencontre, séduits par ce nouvel outil qui ne les quittait pas, ce sont déplacés à Thiers afin de s'équiper de la même façon.
Des revendeurs, aux quatre coins du pays, ayant eu vent de la belle affaire, sont également venus s'approvisionner, ce qui explique le succès à l'échelon national.
La réaction a été identique, lorsque ces bouchers et cuisiniers sont allés exercer leur art à l'extérieur du pays.
Les archives familiales de cette époque démontrent une très grande activité à l'exportation dans toute l'Europe, mais aussi aux Etats-Unis, en Afrique du Nord, en Asie et en Afrique, ces dernières contrées s'expliquant probablement par une forte présence française, au temps lointain des colonies...
A n'en point douter Bonnet SABATIER a su faire preuve à la fois de qualités incontestables dans la coutellerie, mais aussi dans le commerce, et c'est sans nul doute à lui que la marque doit sa renommée et son essor. ses fils, tout comme leurs successeurs dans l'affaire, n'avaient plus qu'à maintenir la qualité et les relations commerciales, même si cela n'a pas du être toujours facile...
c'est Antoinette, fille de Gabriel, qui reprit l'affaire, tout d'abord avec son mari, Annet Perrier, puis seule à la mort de celui-ci.
Ses successeurs ont été son fils Adrien Perrier, puis Marie-Antoinette, fille de ce dernier, qui s'est mariée avec Roger BOURGADE.
On parvient, après ce long périple, à la fille de ce couple : Agnès, épouse BOURNILHAS. Elle a dirigé l'entreprise avec son mari, Alain BOURNILHAS, qui fut responsable de la fabrication.
Actuellement, Philippe BOURNILHAS, fils d'Agnès et d'Alain BOURNILHAS, dirige l'entreprise SABATIER AINE & PERRIER.
Comme à l'origine, l'entreprise a toujours son siège au n° 57 Bellevue à THIERS.
Bien sûr, les matériaux, ainsi que les méthodes de fabrication ont changé, mais la qualité est toujours là, et la demande toujours aussi importante : plus de cent mille pièces par an, dont 70% à l'exportation.
L'acier, toujours forgé, est du 4116 inoxydable. La gamme est immense et répond à tous les besoins, tant des bouchers que des cuisiniers, et même, naturellement, que des ménagères, bien qu'il s'agit par définition de couteaux de professionnels.
Le succès rencontré à été tel, qu'il fallut les distinguer de la concurrence par l'apposition d'une marque : ce fut un "K", qui était déjà utilisée avant la Révolution Française, mais qui a été rachetée par notre homme en 1810.
Ainsi donc le K SABATIER est né : la lame, de longueur variable, était naturellementen acier au carbone forgée et le manche était monté sur soie après avoir été préalablement rempli de ciment, la partie arrière étant obturée par une rosette.
Son fils, Bonnet SABATIER, lui a succédé, utilisant toujours la même marque. Un acte, qui date du 9 Décembre 1858, relate le renouvellement du dépôt de celle-ci.
Bonnet eut deux fils : Gabriel et Pierre, lesquels, après avoir travaillé avec leur père, ont, au départ de celui-ci, le 6 Juin 1882, créé une société SABATIER FRERES. Gabriel, qui a racheté tous les droits sur les marques, continua de fabriquer ce même type de couteau sous le nom de SABATIER AINE, à la marque K SABATIER.
A ce stade du récit, la question du succès de ce couteau, non seulement en France mais dans le monde entier, et cela, dès les premiers modèles forgés par Philippe, se pose.
La réponse réside dans la qualité et l'équilibre de l'ensemble, la prise en main étant beaucoup plus agréable par rapport à ce qui existait déjà, dans la gamme des tailles proposées.
La vente était tout d'abord locale, à l'occasion des foires agricoles, mais les professionnels de la boucherie et de la cuisine étant géographiquement très mobiles, leurs collègues de rencontre, séduits par ce nouvel outil qui ne les quittait pas, ce sont déplacés à Thiers afin de s'équiper de la même façon.
Des revendeurs, aux quatre coins du pays, ayant eu vent de la belle affaire, sont également venus s'approvisionner, ce qui explique le succès à l'échelon national.
La réaction a été identique, lorsque ces bouchers et cuisiniers sont allés exercer leur art à l'extérieur du pays.
Les archives familiales de cette époque démontrent une très grande activité à l'exportation dans toute l'Europe, mais aussi aux Etats-Unis, en Afrique du Nord, en Asie et en Afrique, ces dernières contrées s'expliquant probablement par une forte présence française, au temps lointain des colonies...
A n'en point douter Bonnet SABATIER a su faire preuve à la fois de qualités incontestables dans la coutellerie, mais aussi dans le commerce, et c'est sans nul doute à lui que la marque doit sa renommée et son essor. ses fils, tout comme leurs successeurs dans l'affaire, n'avaient plus qu'à maintenir la qualité et les relations commerciales, même si cela n'a pas du être toujours facile...
c'est Antoinette, fille de Gabriel, qui reprit l'affaire, tout d'abord avec son mari, Annet Perrier, puis seule à la mort de celui-ci.
Ses successeurs ont été son fils Adrien Perrier, puis Marie-Antoinette, fille de ce dernier, qui s'est mariée avec Roger BOURGADE.
On parvient, après ce long périple, à la fille de ce couple : Agnès, épouse BOURNILHAS. Elle a dirigé l'entreprise avec son mari, Alain BOURNILHAS, qui fut responsable de la fabrication.
Actuellement, Philippe BOURNILHAS, fils d'Agnès et d'Alain BOURNILHAS, dirige l'entreprise SABATIER AINE & PERRIER.
Comme à l'origine, l'entreprise a toujours son siège au n° 57 Bellevue à THIERS.
Bien sûr, les matériaux, ainsi que les méthodes de fabrication ont changé, mais la qualité est toujours là, et la demande toujours aussi importante : plus de cent mille pièces par an, dont 70% à l'exportation.
L'acier, toujours forgé, est du 4116 inoxydable. La gamme est immense et répond à tous les besoins, tant des bouchers que des cuisiniers, et même, naturellement, que des ménagères, bien qu'il s'agit par définition de couteaux de professionnels.
killme54- Messages : 118
Date d'inscription : 13/06/2008
Age : 33
Localisation : Les Touches (17)
Re: Petites annonces pour blog
Il nous faut remonter au début du XIXème siècle pour trouver un certain Philippe SABATIER qui fabriquait, à Bellevue (dans les faubourgs de Thiers) au n° 57 de la Route de Lyon, des couteaxu destinés aux professionnels de la viande.
Le succès rencontré à été tel, qu'il fallut les distinguer de la concurrence par l'apposition d'une marque : ce fut un "K", qui était déjà utilisée avant la Révolution Française, mais qui a été rachetée par notre homme en 1810.
Ainsi donc le K SABATIER est né : la lame, de longueur variable, était naturellementen acier au carbone forgée et le manche était monté sur soie après avoir été préalablement rempli de ciment, la partie arrière étant obturée par une rosette.
Son fils, Bonnet SABATIER, lui a succédé, utilisant toujours la même marque. Un acte, qui date du 9 Décembre 1858, relate le renouvellement du dépôt de celle-ci.
Bonnet eut deux fils : Gabriel et Pierre, lesquels, après avoir travaillé avec leur père, ont, au départ de celui-ci, le 6 Juin 1882, créé une société SABATIER FRERES. Gabriel, qui a racheté tous les droits sur les marques, continua de fabriquer ce même type de couteau sous le nom de SABATIER AINE, à la marque K SABATIER.
A ce stade du récit, la question du succès de ce couteau, non seulement en France mais dans le monde entier, et cela, dès les premiers modèles forgés par Philippe, se pose.
La réponse réside dans la qualité et l'équilibre de l'ensemble, la prise en main étant beaucoup plus agréable par rapport à ce qui existait déjà, dans la gamme des tailles proposées.
La vente était tout d'abord locale, à l'occasion des foires agricoles, mais les professionnels de la boucherie et de la cuisine étant géographiquement très mobiles, leurs collègues de rencontre, séduits par ce nouvel outil qui ne les quittait pas, ce sont déplacés à Thiers afin de s'équiper de la même façon.
Des revendeurs, aux quatre coins du pays, ayant eu vent de la belle affaire, sont également venus s'approvisionner, ce qui explique le succès à l'échelon national.
La réaction a été identique, lorsque ces bouchers et cuisiniers sont allés exercer leur art à l'extérieur du pays.
Les archives familiales de cette époque démontrent une très grande activité à l'exportation dans toute l'Europe, mais aussi aux Etats-Unis, en Afrique du Nord, en Asie et en Afrique, ces dernières contrées s'expliquant probablement par une forte présence française, au temps lointain des colonies...
A n'en point douter Bonnet SABATIER a su faire preuve à la fois de qualités incontestables dans la coutellerie, mais aussi dans le commerce, et c'est sans nul doute à lui que la marque doit sa renommée et son essor. ses fils, tout comme leurs successeurs dans l'affaire, n'avaient plus qu'à maintenir la qualité et les relations commerciales, même si cela n'a pas du être toujours facile...
c'est Antoinette, fille de Gabriel, qui reprit l'affaire, tout d'abord avec son mari, Annet Perrier, puis seule à la mort de celui-ci.
Ses successeurs ont été son fils Adrien Perrier, puis Marie-Antoinette, fille de ce dernier, qui s'est mariée avec Roger BOURGADE.
On parvient, après ce long périple, à la fille de ce couple : Agnès, épouse BOURNILHAS. Elle a dirigé l'entreprise avec son mari, Alain BOURNILHAS, qui fut responsable de la fabrication.
Actuellement, Philippe BOURNILHAS, fils d'Agnès et d'Alain BOURNILHAS, dirige l'entreprise SABATIER AINE & PERRIER.
Comme à l'origine, l'entreprise a toujours son siège au n° 57 Bellevue à THIERS.
Bien sûr, les matériaux, ainsi que les méthodes de fabrication ont changé, mais la qualité est toujours là, et la demande toujours aussi importante : plus de cent mille pièces par an, dont 70% à l'exportation.
L'acier, toujours forgé, est du 4116 inoxydable. La gamme est immense et répond à tous les besoins, tant des bouchers que des cuisiniers, et même, naturellement, que des ménagères, bien qu'il s'agit par définition de couteaux de professionnels.
Le succès rencontré à été tel, qu'il fallut les distinguer de la concurrence par l'apposition d'une marque : ce fut un "K", qui était déjà utilisée avant la Révolution Française, mais qui a été rachetée par notre homme en 1810.
Ainsi donc le K SABATIER est né : la lame, de longueur variable, était naturellementen acier au carbone forgée et le manche était monté sur soie après avoir été préalablement rempli de ciment, la partie arrière étant obturée par une rosette.
Son fils, Bonnet SABATIER, lui a succédé, utilisant toujours la même marque. Un acte, qui date du 9 Décembre 1858, relate le renouvellement du dépôt de celle-ci.
Bonnet eut deux fils : Gabriel et Pierre, lesquels, après avoir travaillé avec leur père, ont, au départ de celui-ci, le 6 Juin 1882, créé une société SABATIER FRERES. Gabriel, qui a racheté tous les droits sur les marques, continua de fabriquer ce même type de couteau sous le nom de SABATIER AINE, à la marque K SABATIER.
A ce stade du récit, la question du succès de ce couteau, non seulement en France mais dans le monde entier, et cela, dès les premiers modèles forgés par Philippe, se pose.
La réponse réside dans la qualité et l'équilibre de l'ensemble, la prise en main étant beaucoup plus agréable par rapport à ce qui existait déjà, dans la gamme des tailles proposées.
La vente était tout d'abord locale, à l'occasion des foires agricoles, mais les professionnels de la boucherie et de la cuisine étant géographiquement très mobiles, leurs collègues de rencontre, séduits par ce nouvel outil qui ne les quittait pas, ce sont déplacés à Thiers afin de s'équiper de la même façon.
Des revendeurs, aux quatre coins du pays, ayant eu vent de la belle affaire, sont également venus s'approvisionner, ce qui explique le succès à l'échelon national.
La réaction a été identique, lorsque ces bouchers et cuisiniers sont allés exercer leur art à l'extérieur du pays.
Les archives familiales de cette époque démontrent une très grande activité à l'exportation dans toute l'Europe, mais aussi aux Etats-Unis, en Afrique du Nord, en Asie et en Afrique, ces dernières contrées s'expliquant probablement par une forte présence française, au temps lointain des colonies...
A n'en point douter Bonnet SABATIER a su faire preuve à la fois de qualités incontestables dans la coutellerie, mais aussi dans le commerce, et c'est sans nul doute à lui que la marque doit sa renommée et son essor. ses fils, tout comme leurs successeurs dans l'affaire, n'avaient plus qu'à maintenir la qualité et les relations commerciales, même si cela n'a pas du être toujours facile...
c'est Antoinette, fille de Gabriel, qui reprit l'affaire, tout d'abord avec son mari, Annet Perrier, puis seule à la mort de celui-ci.
Ses successeurs ont été son fils Adrien Perrier, puis Marie-Antoinette, fille de ce dernier, qui s'est mariée avec Roger BOURGADE.
On parvient, après ce long périple, à la fille de ce couple : Agnès, épouse BOURNILHAS. Elle a dirigé l'entreprise avec son mari, Alain BOURNILHAS, qui fut responsable de la fabrication.
Actuellement, Philippe BOURNILHAS, fils d'Agnès et d'Alain BOURNILHAS, dirige l'entreprise SABATIER AINE & PERRIER.
Comme à l'origine, l'entreprise a toujours son siège au n° 57 Bellevue à THIERS.
Bien sûr, les matériaux, ainsi que les méthodes de fabrication ont changé, mais la qualité est toujours là, et la demande toujours aussi importante : plus de cent mille pièces par an, dont 70% à l'exportation.
L'acier, toujours forgé, est du 4116 inoxydable. La gamme est immense et répond à tous les besoins, tant des bouchers que des cuisiniers, et même, naturellement, que des ménagères, bien qu'il s'agit par définition de couteaux de professionnels.
killme54- Messages : 118
Date d'inscription : 13/06/2008
Age : 33
Localisation : Les Touches (17)
Re: Petites annonces pour blog
c d couteau de cuisine lol
le-monegasque17- Messages : 103
Date d'inscription : 07/06/2008
Age : 34
Localisation : luché
Re: Petites annonces pour blog
é alor ? c pr étre mieu pénétran ! sa te pos un problém ?!
killme54- Messages : 118
Date d'inscription : 13/06/2008
Age : 33
Localisation : Les Touches (17)
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